CEO de Corset Daum, une entreprise fondée en 1933.
Avant de vous parler de l’année 2020 chez Corset Daum, nous vous présentons Sarah Daum. Elle est la CEO de l’entreprise Corset Daum, fondée en 1933.
Véritable chef d’orchestre de l’entreprise, Sarah fait partie de la 3ème génération et se charge de la prospection. Elle transmet l’information au milieu médical et scientifique. Ainsi, s’ils choisissent une thérapie conservatrice sans intervention chirurgicale, les médecins sont informés qu’il existe une alternative. Elle s’appelle het Daum-korset et peut aider les patients ayant des douleurs de dos chroniques.
Rétrospective de l’année 2020 chez Corset Daum
Profession essentielle et organisation
Pour tout le monde, l’année 2020 a été très particulière. Chez Corset Daum, comme ailleurs, elle a été pleine de challenges. Lors du premier confinement en mars 2020, Sarah décide que Corset Daum fait partie des professions essentielles. Le Ministère de la Santé le confirmera d’ailleurs par la suite.
« Il fallait être là pour les gens qui avaient mal. Parce que les douleurs ne disparaissent pas avec un virus. »
Sarah Daum, CEO de Corset Daum
L’année 2020 chez Corset Daum a été synonyme d’organisation dans l’excellence. Un point d’honneur a été mis à continuer de recevoir et de soigner les patients. Et ce, malgré les mesures sanitaires exigées par les autorités.
Le travail chez Corset Daum depuis mars 2020
Année 2020 chez Corset Daum rime avec longueur d’avance
Forte de ses contacts dans le monde médical, Sarah Daum reçoit énormément d’informations par les médecins, les centres médicaux, hôpitaux et cliniques.
Toujours avec une longueur d’avance, dès le 2ème jour du confinement, elle a mis en place des normes de sécurité dans l’entreprise. Et Corset Daum était déjà en avance par rapport à ce que le gouvernement demandait.
Mesures de protection depuis mars 2020
Dans le service d’orthopédie, l’entreprise fait de la surprotection. Les patients ne sont reçus en orthopédie que sur rendez-vous. Prudence sur toute la ligne !
Les comptoirs et terminaux de paiement électronique sont désinfectés avant et après chaque utilisation. Tous les patients se présentent avec un masque et ou en reçoivent un gratuitement si nécessaire. Ils se désinfectent les mains directement à l’entrée et à la sortie du centre. Du gel désinfectant est à leur disposition dans tous les locaux.
Les techniciens et bandagistes se rendent dans les cabines uniquement munis d’un masque FFP2. En plus du masque FFP2, tous les collaborateurs portent une visière et des gants pour aller vers les patients.
Les bancs de travail des techniciens sont désinfectés 3 fois par jour. Chaque orthèse, chaque corset présenté dans l’atelier est désinfecté avant de commencer le contrôle sur l’orthèse. Et bien entendu, avant de le rendre au patient. Personne ne partage les outils, chacun a son propre matériel, son banc de travail, son désinfectant, sa visière et sa boite de gants.
Si le patient doit signer un document, le stylo est désinfecté avant et après. Tous les points de rencontre, bureau de consultation ou comptoir sont muni d’un plexi. Paroi de protection supplémentaire pour tous, en plus du masque.
Sarah aime surprotéger ses patients et son personnel, c’est son côté maternel. Selon elle, il faut apprendre à vivre avec le virus. La meilleure manière de faire en tant que chef d’entreprise, c’est d’être très vigilante et protectrice.
Ce que Sarah aime dans son travail chez Corset Daum
Quand on demande à Sarah ce qu’elle préfère dans son travail, elle répond qu’elle aime rencontrer les patients et les médecins. Lorsque le visage marqué des patients en souffrance évolue en cours de thérapie vers un visage plus reposé, ça la rend heureuse. Les patients reprennent une vie normale, peuvent se promener, aller au parc avec leur chien, faire quelques courses eux-mêmes. Bref, profiter à nouveau d’une vie normale. Elle aime voir l’évolution de la morphologie, des traits du visage et de la démarche des patients.
Succès de l’année 2020 chez Corset Daum
Sarah peut dire avec fierté que de mars à décembre 2020, Corset Daum n’a refusé aucun soin. L’équipe était là en permanence. En mars et avril, les gens venaient parce qu’ils avaient mal et ne savaient pas quoi faire. Il y avait des interruptions des consultations en orthopédie et en rhumatologie. En effet, tout le monde se concentrait sur le Covid. Nombreux sont ceux qui avaient peur de se rendre en milieu hospitalier.
Corset Daum a pu accueillir et aider les patients en crise, parfois confiés par les médecins.
Son vrai succès, c’est de pouvoir affirmer que toutes les personnes qui ont sollicité le centre ont été soignées.